Nouveau test de stress hypothécaire au Canada
Nouveau test de stress hypothécaire au Canada https://financementguardian.ca/wp-content/uploads/2018/03/stress-test-1024x432.jpg 1024 432 Financement Guardian Financement Guardian https://financementguardian.ca/wp-content/uploads/2018/03/stress-test-1024x432.jpgÀ compter du 1er janvier 2018, tout Canadien cherchant à obtenir un prêt hypothécaire auprès d’un prêteur assujetti à la réglementation fédérale sera soumis à un test de résistance hypothécaire avant de se voir accorder la facilité de prêt. Cela implique que les demandeurs d’hypothèque devront désormais se qualifier pour le taux de référence de 5 ans de BOC pour l’hypothèque conventionnelle ou se qualifier à + 2% si le taux est supérieur au taux de référence.
Avec cela, si vous êtes pré-approuvé à 3,5%, le taux d’intérêt auquel vous serez admissible sera de 5,5% et cela réduira sans aucun doute le pouvoir d’achat des multitudes.
Le test de stress et comment il est calculé
Dans le jargon de la finance, les tests de résistance font référence à diverses approches pour évaluer les pires scénarios de différents investissements. En ce qui concerne les hypothèques, des tests de résistance sont utilisés pour déterminer les risques associés à chaque demande de prêt.
Il vise à déterminer le montant que l’emprunteur peut se permettre en ce qui concerne son ratio dette / revenu, et s’il serait toujours possible de respecter l’obligation de remboursement si les taux étaient augmentés. Par exemple, si le demandeur faisait face à une perte temporaire d’emploi, comment les facteurs joueraient-ils sur le remboursement du prêt?
Ces facteurs et d’autres sont ce qui est pris en considération dans le test de stress pour déterminer la probabilité d’un défaut de paiement de l’emprunteur.
À partir de janvier 2018, les acheteurs de maison ne seront pas seulement admissibles au taux négocié dans leur contrat hypothécaire, mais se qualifieront également au taux actuel majoré de 2% ou à la moyenne affichée par la banque de 5 ans ou selon le plus élevé. De cette manière, les banques seront certaines que l’emprunteur sera toujours en mesure d’effectuer des remboursements si les taux d’intérêt sont plus élevés que ce qu’ils sont au moment de l’application.
L’autre condition pour le test de stress est que les emprunteurs ne sont pas autorisés à dépasser un ratio d’endettement total de 44%, et ils doivent dépenser moins de 32% de leur revenu sur les coûts de logement comme les taxes foncières, les paiements hypothécaires et autres. Utilitaires.
À l’époque, seuls les emprunteurs ne pouvaient pas augmenter l’acompte de 20% qui était soumis au test de résistance. Mais à partir de janvier 2018, tous les emprunteurs seront soumis à l’épreuve, et par conséquent, un bon nombre de personnes manqueront les hypothèques fournies par les prêteurs sous réglementation fédérale.
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