Les premières semaines de février ont été marquées par une forte volatilité sur les marchés boursiers, ce qui a été observé avec une grande inquiétude parmi les différents acteurs. Deux leçons cruciales qui pourraient être choisies les réactions du marché indiquent celui-là; beaucoup de stocks se portent toujours très bien en 2018; Deuxièmement, le marché boursier canadien affiche de piètres résultats par rapport au marché américain.
Au cours de la même période l’an dernier, le Dow Jones Industrial Average dépassait la barre des 20 000 pour la première fois de son histoire. Mais maintenant, le Dow Jones est de 19% au cours de la dernière année, et la même tendance se retrouve dans le S & P 500. Cela correspond à ce qui se passe dans d’autres grands marchés mondiaux, mais ce n’est pas la même chose au Canada.
La TSX du Canada semble avoir pris sa propre voie par rapport aux deux autres indices, et on estime qu’elle est en retard de 22%. Alors, qu’est-ce qui pourrait être possible pour ce comportement extraordinaire des stocks du Canada?
La date à laquelle TSX différait fortement avec le Dow et S & P est quand le président Trump a été assermenté en tant que président des États-Unis d’Amérique. Avec ses promesses de réductions d’impôt, d’infrastructure et de déréglementation, le marché s’est retrouvé dans une situation à la hausse jamais vue auparavant, et les Canadiens stockés ne pouvaient tout simplement pas suivre le rythme.
Au moment où Trump est devenu le président, le marché américain savait qu’il dépenserait et puisque les grands chiens sur le marché américain sont des actions liées à la technologie, ils ont réagi très fortement à la prestation de serment du nouveau président. En revanche, les stocks du Canada ont pris du retard, principalement parce que ce sont des « stocks de ressources » qui ne sont pas seulement en plein essor.
L’autre explication de la piètre performance des actions canadiennes par rapport au marché américain est liée à la perception qu’ont les investisseurs étrangers de l’économie canadienne en ce moment. Il est triste de constater que la plupart des investisseurs ne sont pas convaincus qu’il existe des opportunités d’investissement adéquates dans le pays. La conscience sur les marchés mondiaux que les ménages canadiens sont lourdement endettés est un conflit et, par conséquent, la croissance de la consommation qui a toujours été responsable de la croissance de l’économie ne peut plus être soutenue.
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